Interview de Jackie ORTIZ, American English teacher au DIIAGE

INTERVIEW : Jackie Ortiz, American English teacher 

diiage : en quelques mots, quel est votre parcours ? 

J.O. : J’ai fait une licence avec une double spécialité (le français et le marketing de la mode) à New York où je suis née, je suis ensuite venue en France en tant qu’assistante de langue à Semur-en-Auxois. Pas prête à rentrer chez moi, j’ai décidé de continuer l’enseignement ici…

diiage : le diiage fait partie du programme Showcase Schools, de quoi s’agit-il ?

J.O. : Le diiage a une approche pédagogique centrée sur l’étudiant et le mode projet. Grâce aux technologies Microsoft, les étudiants comme les intervenants ont l’occasion de faire une vraie collaboration – on utilise Teams, OneNote et d’autres applications – pour bâtir des projets ensemble, innover ensemble et développer nos compétences du 21è siècle.

note : Microsoft Showcase Schools est une communauté mondiale d’écoles engagées dans la transformation numérique de leur établissement.

diiage : en tant qu’enseignante, quelle est la valeur ajoutée de ce programme, et plus généralement de Microsoft Education ?

J.O. : Pour ma part, je trouve beaucoup d’inspiration dans le fait de travailler et d’échanger avec des personnes visant toujours à s’améliorer, pensant toujours à l’avenir. Des gens ouverts d’esprit qui sont dans le partage et dans l’échange. Faire partie d’un tel réseau m’a montré les avantages personnels d’un travail collaboratif.

diiage : comment s’organise l’enseignement de l’anglais au diiage ?

J.O. : Contrairement aux cours classiques du lycée, l’apprentissage de l’anglais se fait en parallèle des projets. C’est-à-dire que les étudiants travaillent leur projet technique, tout en parlant anglais. Que ce soit des échanges écrits entre eux via Teams, des Daily Meetings, ou leur soutenance finale, les étudiants doivent intégrer et mobiliser l’anglais tout au long du projet. 

diiage : apprendre en faisant plutôt que de façon scolaire, c’est une évidence ? 

J.O. : Je dirais que dès lors qu’on est capable d’apprendre en faisant, c’est grâce aux bases acquises dans la scolarité. Mais il est vrai que l’anglais reste une langue vivante, et donc l’immersion par le mode projet est plus intéressant et porte bien ses fruits.

Et en bonus :